dimanche 5 janvier 2014

Philosophie du déneigeur

Chers illustres bloggeurs!
Tâchons d'élever un peu le niveau intellectuel de ce blog qui a tendance à virer un peu trop à la réunion Tupperware.
Voici donc le fruit de mes réflexions philosphiques, mûries au cours de mes longues heures de déneigement. Premièrement, une question que se pose tout bon déneigeur : quel est le bon moment pour déneiger? Faut-il attendre la fin de la tempête pour ne pas avoir à remettre l'ouvrage sur le métier ou bien dois-je évacuer la neige au fur et à mesure afin de faciliter le pelletage? Ayant opté pour la 2ème solution, je vois avec angoisse s' accumuler la neige après mon activité physique matinale...


Deuxième pensée profonde inspirée par ce déchaînement climatique (potentiel sujet au bac de philo): la congère, ennemi ou ami du déneigeur? A bien y réfléchir, l'importante épaisseur de neige au coeur de la congère (snow drift en anglais) est contrebalancée par une zone vierge de neige sur ses côtés. Donc statu quo. A moins bien sûr de se lancer dans un compliqué calcul de volume de la congère, sujet que nous aborderons dans un prochain article sur la géométrie dans l'espace...
Amis philosophes, à vos stylets, stylos, crayons, marteaux, burins pour nous faire profiter du fruit de vos propres réflexions!

1 commentaire:

  1. Venant d'un Savoyard, cette question ne peut qu'être un piège ... je dirai donc qu'il suffit de revenir à Henri Queuille : « Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. »

    Attends-donc le dégel :-)

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